Rapport de Mouvement de la société civil pour la justice et développement depuis 5 juin 2020 Sur la situation socio-politique du Mali
Rapport de Mouvement de la société civil pour la justice et développement depuis 5 juin 2020 Sur la situation socio-politique du Mali
Rapport de Mouvement de la société civil pour la justice et développement depuis 5 juin 2020 Sur la situation socio-politique du Mali
|
Depuis 5 juin 2020 un mouvement sociale est déclenché au Mali par appel de Imam Dicko et Force pour sauvegarde de la démocratie (FSD) après contestation des élections législatives et mauvaise gestion pour la refondation de l’Etat Mali Kura après 4 sortis le mouvement a réuni environ 50000 personnes à Bamako place de la liberté au 18 Aout 2020.
De 5 juin 2020 au 18 Aout 2020 la CEDEAO est intervenu aux prés des intervenants en proposant 50% des ministères camp majoritaire parlementaire et 30% oppositions et 20 % M-5RFP sans que le Premier ministre ne change pas sa place, la proposition fut rejeter par M-5RFP qui exige démission IBK.
18 Aout 2020 un groupe militaire appelé CNPS arrête Président IBK et le force de dissoudre assemble nationale et de démissionner.
Dès 19 Aout 2020 la cedeao, UA, ONU ont condamné le coup d’état et exige rétablissement d’IBK et libération des officiels et met en place un embargo sur Mali et junte déclare une transition civil
La junte avec aide de M-5RFP dont la junte à initialement dit qu’il parachève les œuvres de M-5RFP a négocié avec cedeao pour 3 ans de transitions puis 2 ans rejeter par cedeao qui exige 12 mois au maximum finalement cedeao et junte sont d’accord sur 18 mois de transition et la junte déclare transition militaire puis militaire ou civil.
Une concertation de 72h de 10,11 ,12 septembre 2020 par 600 personnes reconnues comme force vive de la nation par junte élabore une charte de transition finalement abandonné par junte qui présente sa propre charte de transition et l’impose la charte prévoit collège de désignation et 18 mois de mandat.
De 18 Aout 2020 au 25 septembre 2020 colonel Assimi reste chef d’état de facto (fait).
25 septembre 2020, le collège est abandonné par junte qui désigne Bah Ndaw comme Président de la Transition à travers Malick Diaw.
28 septembre 2020 Bah Ndaw nomme un Premier ministre Moctar Ouane après que les 14 CV demandé a M-5RFP par CNSP soit abandonnés M-5RFP cru à la trahison.
05 octobre 2020 Moctar Ouane nomme un gouvernement de transition sans M-5RFP et CEDEAO lève embargo sur Mali et les grands partis politiques reconnaissent le gouvernement (ADEMA, RPM et autre….)
09 novembre deux décrets désignent répartition et condition de participation à la CNT sont signés par Ba N’daw voir
18 novembre 2020 les syndicats déclenchent les grèves voir grevé illimités dans l’administration Territoriale, UNTM et autres et syndicat de l’enseignement supérieur à partir de 1 décembre 2020 grève illimités.
03 Décembre 2020 CNSP met en place conseil nationale de la transition (CNT) à travers son président Assimi signé par décret Présidentiel de transition Bah N’daw.
04 Décembre certain membre de CNT dénonce CNT ils sont devenu membre sans demandé et l’article de condition d’admission ne sont pas respecté par vice-président puis par président lui-même.
Des forces politiques, M-5RFP et CMA rejettent CNT.
Le 14 mai 2021, Moctar Ouane présente la démission du gouvernement. Il est chargé le jour même de former un nouveau cabinet plus inclusif2. Le gouvernement est présenté le 24 mai 2021. Celui-ci se caractérise par la mise à l'écart de certains membres de l'ex-CNSP (Sadio Camara et Modibo Koné), Bah N’Daw et le Premier ministre sont interpelés puis conduits sous escorte militaire à Kati peu après3,4.
Le lendemain, le colonel Assimi Goïta annonce avoir « démis de leurs prérogative » le président et le Premier ministre, qu’il accuse de « sabotage » de la transition, leur reprochant d'avoir formé un nouveau gouvernement sans se concerter avec lui5.
L'opération est condamnée par l'Union africaine, la Cédéao, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'ONU, tandis que le médiateur de la Cédéao l'ancien président nigérian Goodluck Jonathan doit se rendre à Bamako le lendemain26.
Le putsch et les arrestations des responsables de la transition sont dénoncés par l'Association malienne des droits de l'homme et la Commission nationale des droits de l'homme27.
Les États-Unis annoncent la suspension de leur aide aux forces armées maliennes, sans toutefois que l’ONU ne mette en place de sanctions contre le régime28.
Recommandation de MSCJD :
MSCJD demande la mise en place d’un collège de désignation de Président de transition représentant les forces vives de la nation compose de 13 membres urgemment qui nomment un Président de transition par vote à majorité simple
Voilà les forces vives de la nation :
CNSP et force armées : 4 représentant avec droit de veto
M-5RFP : 2 membres
CMAS : 1 membre
UNTM : 1 membre
Partis politiques : 2 membres
Haut conseil islamique et autre religieux : 2 membres
Société civile : 1 membre
Prise de décision : pour de raison historique et de sécurité les forces armées ont un droit de veto sur la validation de candidature de future président.
Pour avoir la légitimité du peuple malien le ou la future président(e) doit avoir 7 voix sur 13
Le college de designation de President de transition peut destituer President de transition de ses fonctions en cas de mise en accusation de cour supreme et vote de 2/3 de membre de college soit 9 sur 13 membres